Le groupe Printemps vient d’annoncer la fermeture de quatre de ses enseignes, dans le cadre d’un « plan de relance visant à assurer la pérennité de ses activités ». Paris, Le Havre, Strasbourg et Metz sont concernés. Dans la capitale mosellane, 110 emplois seraient menacés, « un cataclysme » pour François Grosdidier, maire de Metz, qui regrette une offre commerciale excédentaire à Metz, depuis la création de Muse.
On écoute François Grosdidier, maire de Metz :